Pleurer du « funeste enlèvement du roi » ou rire du « rapt à la mazarine »

Peut-on rire de l’enlèvement du roi en 1649 ? Pour répondre à cette question nous posons l’hypothèse que l’actualité s’inscrit réaction, et qu’il est d’autant plus « fort » la tension violente. Cette dernière, liée l’inquiétude peur des Parisiens, peut se mesurer rapidité l’abondance libelles publiés dès le 6 janvier, lendemain fuite cour Saint-Germain. Les dures données climatiques – Seine a débordé –, les prophéties menaçantes motifs dramatiques eschatologiques propres effrayer peuples permettent d’apprécier jeux reprises contrepoints textes parodiques. Ainsi dans cas cet enlèvement une manière jouer avec mots peurs. C’est un traumatique exutoire qui traduit cependant rapport émotionnel ambigu.